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Comment obtenir un congé de solidarité internationale, par APRIL International Expat

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14/03/2018

Vous souhaitez vous engager bénévolement dans un projet humanitaire qui vous tient à cœur ? En 2016, près de 2 000 salariés français ont déjà bénéficié d’un congé de solidarité pour participer à une mission d’entraide à l’étranger. Mais comment l’obtenir tout en préparant son retour dans les meilleures conditions ?


Qu’est-ce qu’un congé de solidarité internationale ?

Le congé de solidarité internationale, ou CSI, est une mesure permettant aux salariés de participer à une mission de coopération bénévole à l’étranger. Elle est ouverte à tout employé du secteur privé ayant au moins 12 mois d’ancienneté.

Participer à la construction d’une école, à un programme de protection de l’environnement ou encore enseigner… ce type de projet intéresse bon nombre de salariés qui y voient l’occasion de faire une pause dans leur vie professionnelle, de s’ouvrir à d’autres cultures, et bien sûr de s’investir personnellement pour une cause importante.

Les employeurs y sont également de plus en plus réceptifs : ils souhaitent offrir un bon équilibre entre projets personnels et professionnels à leurs meilleurs talents, pour mieux les fidéliser. D’autant plus qu’un CSI peut avoir une grande valeur ajoutée pour l’entreprise, permettant par exemple le développement de nouvelles compétences ou la découverte de méthodes de travail différentes.
 

Comment obtenir un CSI auprès de son employeur ? 

 

Le cadre du CSI est défini par le Code du Travail : la mission doit relever d’une association humanitaire ou d’une organisation internationale agréée. Le congé peut porter sur une durée maximale de 6 mois pendant laquelle le salaire sera suspendu.

Le CSI doit être demandé à l’employeur par lettre recommandée au moins un mois avant la date de départ. L’employeur doit alors donner sa réponse sous 15 jours, l’absence de réponse équivalant à un accord. La demande de CSI peut recevoir un refus qui doit alors être motivé, si le congé est jugé préjudiciable au bon fonctionnement de l’entreprise.

À l’issue du congé, la loi prévoit un retour sans encombre : le salarié doit retrouver son ancien poste ou une situation équivalente dans l’entreprise, avec au minimum les mêmes conditions de salaire.

Et si votre projet ne rentre pas dans ce cadre bien spécifique, il existe d’autres types de congés qui peuvent mieux convenir à votre idée !

En savoir plus  : Longs voyages : 3 façons de quitter son job sans démissionner
 

Bien préparer son CSI

 

Si ce type de projet vous tente, il faut bien en envisager tous les aspects avant le départ. Une fois que vous aurez choisi le projet d’entraide qui vous tient à cœur, prenez le temps de vous familiariser avec le pays dans lequel va s’effectuer la mission pour éviter le choc culturel : langue, géographie, coutumes... 

Pour découvrir l'article en intégralité, rendez-vous
 sur le site de APRIL International Expat

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